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Les prud’hommes de Nantes viennent de condamner à nouveau la plateforme Uber à verser à l’un de ses chauffeurs plus de 75 000 €. Les juges ont considéré qu’il n’était pas indépendant mais bel et bien salarié.
Sale temps pour les plateformes numériques. Livreurs et chauffeurs, peu satisfaits de leurs conditions, ont remporté quelques victoires récemment. Deliveroo, l’un des gros livreurs de repas, a été condamné, le 19 avril, pour travail dissimulé par le tribunal correctionnel de Paris et deux anciens dirigeants français ont essuyé une peine d’un an de prison avec sursis.
Aujourd’hui, c’est Uber BV, société basée aux Pays-Bas, une filiale du géant américain qui met en relation des chauffeurs de VTC avec des clients, qui est à nouveau épinglée par les prud’hommes de Nantes (qui tranche les litiges entre patrons et salariés). Si la juridiction diffère, le…
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