L’article du 22 mars fait suite à une enquête du quotidien national sur le harcèlement au Sénat dans laquelle l’ancienne collaboratrice de Jean-Pierre Moga durant « plus de trois ans » témoignait de son expérience aux côtés du sénateur. Celle qui se fait appeler « Sophie » par « Libé » et qui travaillait au Sénat « depuis vingt-six ans », évoque une situation qui s’est dégradée « dès janvier 2020 » et qui a mené au burn-out.
« Sophie » évoque également un jour de 2018 où, alors qu’elle se voyait gratifiée d’une augmentation, la main du sénateur se serait « posée sur la sienne ». « Dans sa tête, il fallait une contrepartie à mon augmentation. Je me suis demandé ce qu’il était en train de faire », raconte la collaboratrice à nos confrères.
Il dément
À Tonneins, les accusations contre l’ancien maire sont reçues avec prudence. Un fin connaisseur de la politique locale indique n’avoir « jamais rien entendu » de la sorte concernant Jean-Pierre Moga. Toutefois, une source interne au Sénat, qui souhaite rester anonyme, indique que le sénateur lot-et-garonnais « n’a pas bonne réputation » au Palais Bourbon.
Source Google News – Cliquez pour lire l’article original